Archive numérique de la collection Gaignières (1642-1715)

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Tombe de Quentin Ménard, archevêque de Besançon, dans la Cathédrale Saint-Jean de Besançon (copié d'après Palliot, 5, 6)

  • Tombe de Quentin Ménard, archevêque de Besançon, dans la Cathédrale Saint-Jean de Besançon (copié d'après Palliot, 5, 6)

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Cote ou no d'inventaire
Folio
65
No d'inventaire d'Henri Bouchot
6588
Numéro de l'item (1711) incluant l'image
Titre de l'item (1711) incluant l'image
Le 3e [portefeuille] cotté B, concernant les archevesque et evesque de Bayeux, Bayonne, Bazas, Bellay, Besançon, Beziers, Bethleem, Blois, Bologne, Bordeaux, Bourges et St Brieux
Titre et légende
Tombeau de marbre blanc et noir de François Bonvalot, abé de Saint-Pierre de Luxeuil et de Saint-Vincent de Besançon, archevesque de cette ville, il est sur les degrez pour monter au sanctuaire du costé de l'épistre dans le chœur de l'église cathédrale de Saint-Estienne de Besançon.
Manuscrit de Paliot à monsieur le président de Blaisy, t. 5, p. 6.
Lieu(x) et Période de production
1670 – 1715
   
Matériau, Technique
Papier, Encre, Lavis
Format
Format in-folio
Statut du document
Copie / Relevé
Etape de la copie/relevé
Dessin mis au net
Armoirie(s) traitée(s)
Quentin Ménard (archevêque de Besançon, 1382-1462) - Armoirie : Peinte - D'azur au chevron de pourpre accompagné de trois croisettes d'argent.
Localisation(s) traitée(s)
Région traitée
Franche-Comté
Diocèse traité
Besançon
Période traitée
fixed – 1462
Source du document numérisé
Remarques
Contrairement à ce qu'affirme la légende, les armoiries désignerent davantage Quentin Ménard, archevêque de 1439 à 1462 que François Bonvalot administrateur apostolique de Besançon pendant les premières années de l'épiscopat de Claude de La Baume, élu archevêque en 1544 à l'âge de 8 ans. Bonvalot portait d'argent à trois jumelles de gueules.

Louis Boudan a copié un relevé de Pierre Palliot référencé : Tome 5, f. 6.
En 1698, il copia l’intégralité des recueils de tombeaux bourguignons que Pierre Palliot avait fait relever. Les recueils appartenaient alors au marquis Antoine Joly de Blaisy, ami de Gaignières. Détruits dans un incendie en 1751, les relevés de Palliot ne sont désormais connus que par les dessins de Boudan.
Bibliographie
Jean Adhémar, « Les Tombeaux de la collection Gaignières, dessins d’archéologie du XVIIe siècle », Gazette des Beaux-Arts, t. III, 1977, n° 1981, p. 26.

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