Image
Tombeau de cœur de Laurent Bureau, évêque de Sisteron, aux Carmes de Dijon (copié d'après Palliot, 4, 485)
Lieu de conservation
Cote ou no d'inventaire
Folio
177
No d'inventaire d'Henri Bouchot
6643
Numéro de l'item (1711) incluant l'image
Titre de l'item (1711) incluant l'image
Le 11e [portefeuille cotté] S idem, Sées, Sarlat, Sisteron, Soissons et Strasbourg
Titre et légende
Tombe plate dans le chœur devant le balustre du grand-autel de l'église des Carmes de Dijon, les armes et le coeur sont élevez en bosse.
Manuscrit de Paliot à monsieur le président de Blaisy, t. 4, p. 485
Manuscrit de Paliot à monsieur le président de Blaisy, t. 4, p. 485
Auteur(s)
Lieu(x) et Période de production
1670 – 1715
Matériau, Technique
Papier, Encre
Statut du document
Copie / Relevé
Etape de la copie/relevé
Dessin mis au net
Édifice traité
Objet traité
Personne(s) traitée(s)
Laurent Bureau (évêque de Sisteron, 1448-1504) [fiche Bibale]
Clergé séculier, Conseiller du roi, Évêque, Homme
Clergé séculier, Conseiller du roi, Évêque, Homme
Armoirie(s) traitée(s)
Laurent Bureau (évêque de Sisteron, 1448-1504) - Armoirie : Dessinée - D'azur à une nuée flamboyante d'or mouvante du chef, à trois larmes du même en pointe, la nuée chargée d'une fleur de lis et d'une moucheture d'hermine
Localisation(s) traitée(s)
Région traitée
Bourgogne
Diocèse traité
Dijon
Période traitée
fixed – 1504
Provenance du document
Source du document numérisé
Remarques
Louis Boudan a copié un relevé de Pierre Palliot référencé : Tome 4, f. 485.
En 1698, il copia l’intégralité des recueils de tombeaux bourguignons que Pierre Palliot avait fait relever. Les recueils appartenaient alors au marquis Antoine Joly de Blaisy, ami de Gaignières. Détruits dans un incendie en 1751, les relevés de Palliot ne sont désormais connus que par les dessins de Boudan.
En 1698, il copia l’intégralité des recueils de tombeaux bourguignons que Pierre Palliot avait fait relever. Les recueils appartenaient alors au marquis Antoine Joly de Blaisy, ami de Gaignières. Détruits dans un incendie en 1751, les relevés de Palliot ne sont désormais connus que par les dessins de Boudan.
