Archive numérique de la collection Gaignières (1642-1715)

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Tombe de Catherine Chabot, femme de Guillaume de Saulx-Tavannes, dans l'église Saint-Martin d'Arc-sur-Tille (copié d'après Palliot, 2, 301)

  • Tombe de Catherine Chabot, femme de Guillaume de Saulx-Tavannes, dans l'église Saint-Martin d'Arc-sur-Tille (copié d'après Palliot, 2, 301)

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Cote ou no d'inventaire
Pièce
2
Numéro de l'item (1711) incluant l'image
Titre de l'item (1711) incluant l'image
Autres grands portefeuilles, carton, de tombeaux anciens dessinez et d'autres plus modernes sur papier, cotté Bourgogne. Autre portefeuille parchemin marbré, dos doré, cotté Armorial d'Anjou, manuscrit et enluminé [vol. 1]
Titre et légende
Tombe sous le vocable de Trois Rois dans la chapelle des seigneurs en la paroisse de Saint-Martin d'Arc-sur-Tille en Bourgogne. Ms de Paliot à M. le président de Blaisy, t. 2 p. 301.
Titre dans l'inventaire détaillé
Tombe dans l'église de Saint-Martin d'Arc-sur-Tille en Bourgogne, elle est de Catherine Chabot dame de Tavannes, femme de Guillaume de Saulx seigneur de Tavannes, morte en 1609
Lieu(x) et Période de production
1670 – 1715
   
Matériau, Technique
Papier, Encre
Inventaire détaillé parent
Clairambault 1046, 763
Statut du document
Copie / Relevé
Etape de la copie/relevé
Dessin mis au net
Édifice traité
Armoirie(s) traitée(s)
Buzançais, Catherine Chabot (comtesse de, v. 1561-1609) - Support : Écu (losange) - Armoirie : Dessinée - écartelé, aux 1 et 4 d'or à trois chabots de gueules (Chabot) ; au 2 d'argent au lion de gueules à la queue fourchée et passée en sautoir, armé, lampassé et couronné d'or (Luxembourg) ; au 3 de gueules à l'étoile d'argent à seize rais (Baux) Timbre : couronne perlée
Localisation(s) traitée(s)
Région traitée
Bourgogne
Période traitée
fixed – 1609
Source du document numérisé
Remarques
Louis Boudan a copié un relevé de Pierre Palliot référencé : Tome 2, f. 301.
En 1698, il copia l’intégralité des recueils de tombeaux bourguignons que Pierre Palliot avait fait relever. Les recueils appartenaient alors au marquis Antoine Joly de Blaisy, ami de Gaignières. Détruits dans un incendie en 1751, les relevés de Palliot ne sont désormais connus que par les dessins de Boudan.

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