Archive numérique de la collection Gaignières (1642-1715)

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Épitaphe offerte par le chancelier Hurault de Cheverny à la mémoire de son prédécesseur René de Birague à Sainte-Catherine du Val des Ecoliers

  • Épitaphe offerte par le chancelier Hurault de Cheverny à la mémoire de son prédécesseur René de Birague à Sainte-Catherine du Val des Ecoliers

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Cote ou no d'inventaire
Folio
154
Numéro de l'item (1711) incluant l'image
Titre de l'item (1711) incluant l'image
Deux autres portefeuilles idem cotté Paris, remplis de tombeaux dessinez, des eglises de la ville et fauxbourg de Paris
Titre et légende
Épitaphe de marbre contre le mur dans la chapelle de Birague à droite dans la nef de l'église de Ste-Catherine du Val des Escoliers à Paris.
Titre dans l'inventaire détaillé
Épitaphe dans l'église de Ste-Catherine du Val des Ecoliers de messire René Birage [Birague], cardinal chancellier de France mort en novembre 1[5]83
Lieu(x) et Période de production
1670 – 1715
   
Matériau, Technique
Papier, Encre
Format
Format in-folio
Inventaire détaillé parent
Clairambault 1046, 445
Statut du document
Copie / Relevé
Etape de la copie/relevé
Dessin mis au net
Armoirie(s) traitée(s)
Birague, René de (cardinal, chancelier de France, 1506-1583) - Support : Écu - Armoirie : Peinte - de gueules à trois fasces bretessées d'argent intercalées de trèfles d'or (Birague)

Hurault de Cheverny, Philippe (1527-1599) - Support : Écu - Armoirie : Peinte - d'or à la croix d'azur accompagnée de quatre soleils de gueules (Hurault) Collier d'ordre : Saint-Esprit, Saint-Michel
Emblème(s) traité(s)
Lettre ou monogramme : ΦΦ (double phi, pour Philippe)
Localisation(s) traitée(s)
Région traitée
Ile-de-France
Diocèse traité
Paris
Période traitée
fixed – 1583
Source du document numérisé
Transcription
Hunc Renati Birachi, Sacrae Romanae Ecclesiae Cardinalis, Galliae Cancellarii tumulum Philippus Huraltus Chevernius, Galliae Cancellarius, ob consortium summi magistratus et amicitiam ad finitate sancitam auxit hoc titulo ultimo in defunctum munere et decessori successorem sanctissimi seni hoc quicquid est inferiarum dare pietati ajunctum existimavit adeo quos non fors sed judicum magni regis et respublicae conjunxit nulla vis fati separare potis est.
Remarques
Ce dessin est présent dans l'inventaire détaillé du premier portefeuille des tombeaux parisiens (item 1357 de l'inventaire de 1711) mais a probablement été subtilisé par Clairambault après la mort de Gaignières pour figurer dans ses propres recueils d'épitaphes.

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