Image
Épitaphe de Charlotte d'Orléans, femme de Philippe de Savoie-Nemours, aux Jacobins de Dijon (copié d'après Palliot, 3, 241)
Lieu de conservation
Cote ou no d'inventaire
Folio
56
Numéro de l'item (1711) incluant l'image
Titre de l'item (1711) incluant l'image
Autre portefeuille [de parchemin marbré, dos doré, f°] idem, remply aussy de tombeaux et epitaphes colorez de diverses eglises de France, manuscrit, contenant 111 pieces
Titre et légende
Épitaphe de marbre noir et blanc à main droite près le balustre, dans la chapelle du Rosaire, aux Jacobins de Dijon.
Manuscrit de Paliot à monsieur le président de Blaisy, t. 3, p. 241.
Manuscrit de Paliot à monsieur le président de Blaisy, t. 3, p. 241.
Titre dans l'inventaire détaillé
Épitaphe dans l'église des Jacobins de Dijon, elle est de Charlotte d'Orléans, duchesse de Nemours, comtesse douairière de Genesve, femme de Philippe de Savoye, duc de Nemours, morte le 8 septembre 1549
Auteur(s)
Lieu(x) et Période de production
1670 – 1715
Matériau, Technique
Papier, Encre, Lavis
Format
Format in-folio
Inventaire détaillé parent
Clairambault 1046, 881
Statut du document
Copie / Relevé
Etape de la copie/relevé
Dessin mis au net
Édifice traité
Couvent des Jacobins de Dijon - Jacobin
Objet traité
Personne(s) traitée(s)
Localisation(s) traitée(s)
Région traitée
Bourgogne
Diocèse traité
Dijon
Période traitée
fixed – 1549
Provenance du document
Remarques
Louis Boudan a copié un relevé de Pierre Palliot référencé : Tome 3, f. 241.
En 1698, il copia l’intégralité des recueils de tombeaux bourguignons que Pierre Palliot avait fait relever. Les recueils appartenaient alors au marquis Antoine Joly de Blaisy, ami de Gaignières. Détruits dans un incendie en 1751, les relevés de Palliot ne sont désormais connus que par les dessins de Boudan.
En 1698, il copia l’intégralité des recueils de tombeaux bourguignons que Pierre Palliot avait fait relever. Les recueils appartenaient alors au marquis Antoine Joly de Blaisy, ami de Gaignières. Détruits dans un incendie en 1751, les relevés de Palliot ne sont désormais connus que par les dessins de Boudan.
