Archive numérique de la collection Gaignières (1642-1715)

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Veüe de l'Abbaye de St Jean en Vallée dans la ville de Chartres en 1696

  • Veüe de l'Abbaye de St Jean en Vallée dans la ville de Chartres en 1696

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Cote ou no d'inventaire
VA-28(3)-FOL
No de microfilm
H120192
No d'inventaire d'Henri Bouchot
5211
Numéro de l'item (1711) incluant l'image
Titre de l'item (1711) incluant l'image
Autre [portefeuille] de la Beausse, Vendomois, pays Chartrain, eglise de Chartres, 71 pieces et l'acqueduc de Maintenon
Titre et légende
Veüe de l'Abbaye de St Jean en Vallée, dans la Ville de Chartres de l'Ordre de St Augustin. 1696
Titre dans l'inventaire détaillé
Veüe de l'Abbaye de St Jean en Vallée dans la ville de Chartres en 1696
Lieu(x) et Période de production
1696
   
Matériau, Technique
Papier, Encre, Aquarelle
Inventaire détaillé parent
Clairambault 1042, 156
Statut du document
Copie / Relevé
Etape de la copie/relevé
Dessin mis au net
Objet traité
Armoirie(s) traitée(s)
Abbaye Saint-Jean-en-Vallée - Indéterminé - Armoiries de l'abbaye à gauche du cartouche de titre

Doublet, Pierre (abbé de Saint-Jean-en-Vallée, + 1705) - Armoirie : Peinte - D'azur à trois doublets d'or.
Localisation(s) traitée(s)
Région traitée
Beauce
Diocèse traité
Chartres
Période traitée
fixed – 1696
Type de topographie
Architecture
Source du document numérisé
Transcription
"92" (numéro manuscrit en haut à droite)
Remarques
En 1696, l'abbé de Saint-Jean-en-Vallée est Pierre Doublet, chancelier de Metz. Voilà pourquoi ses armoiries figurent en haut à droite du dessin.

Originellement implantée au nord de la ville (voir E. de Lépinois, Histoire de Chartres, Chartres : Garnier, 1854, tome 1. p. 279), l'abbaye Saint-Jean-en-Vallée avait été détruite en 1568 et ses religieux s'étaient installés à proximité de la cathédrale, dans l'ancien prieuré Saint-Etienne qu'ils avaient agrandi au cours du XVIIe siècle. Les bâtiments conventuels (à gauche sur cette vue qui est prise depuis le nord-est) sont aujourd'hui un hôtel, la Maison Saint-Yves. La chapelle, dont on voit le chevet à droite du dessin, a été rasée à la Révolution ; sa façade apparaît à l'arrière-plan d'un autre dessin de Louis Boudan.
Le dessinateur n'a pas représenté la cathédrale, qui devait pourtant être visible depuis ce point de vue, juste derrière l'abbaye.

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