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Armes et devise de Charles de La Porte, maréchal de la Meilleraye.
Lieu de conservation
Cote ou no d'inventaire
Folio
83
No d'inventaire d'Henri Bouchot
1801
Numéro de l'item (1711) incluant l'image
Titre de l'item (1711) incluant l'image
Portefeuille grand in-f°, commençant au roy Henry 4 et finissant par les armes et devises du marquis de Jarzé
Titre et légende
Armes et devises de monsieur le mareschal de la Meilleraye.
Titre dans l'inventaire détaillé
Armes et devise de monsieur le maréchal de la Meilleraie
Auteur(s)
Lieu(x) et Période de production
Matériau, Technique
Papier, Encre, Aquarelle
Inventaire détaillé parent
Clairambault 1046, 81
Statut du document
Copie / Relevé
Etape de la copie/relevé
Dessin mis au net
Objet traité
Personne(s) traitée(s)
Armoirie(s) traitée(s)
La Meilleraye, Charles de La Porte, duc de (1602-1664) - Support : Écu - Armoirie : Peinte - de gueules au croissant d'hermine (La Porte de La Meilleraye)
Coëffier de Ruzé, Marie (1614-1633) - Support : Écu - Armoirie : Peinte - parti sous la forme de deux écus jumeaux, au 1 de gueules au croissant d'hermine (La Porte de La Meilleraye) ; au 2 de gueules au chevron fascé-ondé d'argent et d'azur, accompagné de trois lions d'or (Ruzé)
Cossé, Marie de (maréchale de la Meilleraye, v. 1621-1710) - Support : Écu - Armoirie : Peinte - parti, au 1 de gueules au croissant d'hermine (La Porte de La Meilleraye) ; au 2 de sable à trois feuilles de scie d'or (Cossé)
Coëffier de Ruzé, Marie (1614-1633) - Support : Écu - Armoirie : Peinte - parti sous la forme de deux écus jumeaux, au 1 de gueules au croissant d'hermine (La Porte de La Meilleraye) ; au 2 de gueules au chevron fascé-ondé d'argent et d'azur, accompagné de trois lions d'or (Ruzé)
Cossé, Marie de (maréchale de la Meilleraye, v. 1621-1710) - Support : Écu - Armoirie : Peinte - parti, au 1 de gueules au croissant d'hermine (La Porte de La Meilleraye) ; au 2 de sable à trois feuilles de scie d'or (Cossé)
Emblème(s) traité(s)
Emblème humaniste : Une explosion dans le ciel d'une place forte, avec le mot 'solo lumine teret' (son seul éclat épouvante).
Période traitée
17e siècle
