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Tombeau des entrailles de Catherine de Bourbon, abbesse de Notre-Dame de Soissons, aux Blancs-Manteaux
Lieu de conservation
Cote ou no d'inventaire
Folio
41
No d'inventaire d'Henri Bouchot
1903
Numéro de l'item (1711) incluant l'image
Titre de l'item (1711) incluant l'image
Autre [portefeuille] idem, Bourbon la Marche, Vendosme, Navarre, Condé, etc. genealogies et armes enluminées
Titre et légende
Tombe de cuivre, derrière le grand-autel de l'église des Blancs-Manteaux de Paris en 1688, elle est pour les entrailles de Caterine de Bourbon, abbesse de Notre-Dame de Soissons.
Titre dans l'inventaire détaillé
Tombe de cuivre dans l'église des Blancs-Manteaux de Paris, sous laquelle sont enterrées les entrailles de Catherine de Bourbon, abbesse de Notre-Dame de Soissons, décédée le 27 avril 1594
Auteur(s)
Lieu(x) et Période de production
1688
| France |
Matériau, Technique
Papier, Encre, Aquarelle
Format
Format in-folio
Inventaire détaillé parent
Clairambault 1046, 229
Statut du document
Copie / Relevé
Etape de la copie/relevé
Dessin mis au net
Édifice traité
Objet traité
Personne(s) traitée(s)
Bourbon, Catherine de (abbesse de Soissons, v. 1525-1594) [fiche Bibale]
Abbé/Abbesse, Clergé régulier, Femme, Noble
Abbé/Abbesse, Clergé régulier, Femme, Noble
Armoirie(s) traitée(s)
Bourbon, Catherine de (abbesse de Soissons, v. 1525-1594) - Support : Écu - Armoirie : Dessinée - d'azur à trois fleurs-de-lis d'or (France moderne) Signe de dignité : crosse abbatiale
France - (bordure semée) - Armoirie : Dessinée - d'azur semé de fleurs-de-lis d'or (Semé de France)
France - (bordure semée) - Armoirie : Dessinée - d'azur semé de fleurs-de-lis d'or (Semé de France)
Localisation(s) traitée(s)
Région traitée
Ile-de-France
Diocèse traité
Paris
Période traitée
fixed – 1688
Remarques
Une des nombreuses pièces subtilisées en 1784 au Cabinet du Roi par l’abbé Jean-Baptiste Guillaume Gevigney (1729-1802), Garde des titres et généalogies de la bibliothèque du Roi. Elles furent plus tard acquises par Richard Gough (1735-1809), directeur de la Société des antiquaires de Londres, qui les lègua en 1809 à la bibliothèque d’Oxford.
