Archive numérique de la collection Gaignières (1642-1715)

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Armes qui sont dans l’abbaye de St-Sauveur d’Evreux

  • Armes qui sont dans l’abbaye de St-Sauveur d’Evreux

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Lieu de conservation
Cote ou no d'inventaire
Folio
98
No d'inventaire d'Henri Bouchot
2365
Numéro de l'item (1711) incluant l'image
Titre de l'item (1711) incluant l'image
Deux autres [portefeuille] pareils , cottez Normandie, remplis de tombeaux dessinez et colorez
Titre et légende
Ces armes sont dans l'église de l’abbaye de St-Sauveur lez Evreux.
Titre dans l'inventaire détaillé
Armes qui sont dans l’abbaye de St-Sauveur d’Evreux
Lieu(x) et Période de production
1670 – 1715
  France
Matériau, Technique
Papier, Encre, Aquarelle
Format
Format in-folio
Inventaire détaillé parent
Clairambault 1046, 609
Statut du document
Copie / Relevé
Etape de la copie/relevé
Dessin mis au net
Édifice traité
Objet traité
Armoirie(s) traitée(s)
- Armoirie : Peinte - Huit blasons : 1er d’azur à sept besans d’or, au chef d’or chargé d’un lion issant de gueules ; 2e d’argent au chevron de gueules accompagné de trois merlettes de même ; 3e d’or à trois chevrons de gueules ; 4e d’or à la croix d’azur ; 5e écartelé au 1er d’or au sautoir de gueules accompagné de quatre lions d’azur, qui est Barville, au 2e d’hermines à cinq losanges de gueules en fasce, au 3e de gueules à la fasce d’or, au 4e losangé d’azur et d’argent, à la face frettée d’or et de gueules ; 6e d’argent à la fasce de gueules accostée de six merlettes de sable ; 7e écartelé au 1er et 4e d’or au sautoir de gueules accompagné de quatre lions d’azur, au 2e et 3e d’argent à la fasce bandée d’or et de gueules de six pièces ; 8e de gueules à quatre fasces d’argent, au lion de sable rampant brochant sur le tout. (Bouchot)
Localisation(s) traitée(s)
Région traitée
Normandie
Diocèse traité
Evreux
Période traitée
Remarques
Une des nombreuses pièces subtilisées en 1784 au Cabinet du Roi par l’abbé Jean-Baptiste Guillaume Gevigney (1729-1802), Garde des titres et généalogies de la bibliothèque du Roi. Elles furent plus tard acquises par Richard Gough (1735-1809), directeur de la Société des antiquaires de Londres, qui les légua en 1809 à la bibliothèque d’Oxford.

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