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Tombeau de Claude de Rueil, évêque d'Angers, dans la cathédrale de cette ville
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Copie / relevé (15297)
Tombeau de Claude de Rueil, évêque d'Angers, dans la cathédrale de cette ville
Lieu de conservation
Cote ou no d'inventaire
Folio
63
No d'inventaire d'Henri Bouchot
2592
Titre et légende
Tombeau de marbre blanc et noir contre le mur de la croisée à gauche de l'église cathédrale de Saint-Maurice d'Angers
Titre dans l'inventaire détaillé
[Tombeau de Claude de Rueil, évêque d'Angers, dans la cathédrale de cette ville]
Auteur(s)
Lieu(x) et Période de production
1670 – 1715
| France |
Matériau, Technique
Papier, Encre, Aquarelle
Format
Format in-folio
Statut du document
Copie / Relevé
Etape de la copie/relevé
Dessin mis au net
Édifice traité
Objet traité
Personne(s) traitée(s)
Rueil, Claude de (1581-1649) [fiche Bibale]
Ruzé, Guillaume (évêque d'Angers, + 1587) [fiche Bibale]
Ruzé de Beaulieu, Martin (v. 1526-1613) [fiche Bibale]
Clerc, Clergé séculier, Évêque, Homme, Conseiller du roi, Laïc, Noble
Ruzé, Guillaume (évêque d'Angers, + 1587) [fiche Bibale]
Ruzé de Beaulieu, Martin (v. 1526-1613) [fiche Bibale]
Clerc, Clergé séculier, Évêque, Homme, Conseiller du roi, Laïc, Noble
Localisation(s) traitée(s)
Période traitée
Remarques
Les trois portraits, au fond de l'enfeu, sont ceux de l'évêque Claude de Rueil et de ses grands-oncles Martin Ruzé, conseiller du roi, et Guillaume Ruzé, évêque d'Angers.
Une des nombreuses pièces subtilisées en 1784 au Cabinet du Roi par l’abbé Jean-Baptiste Guillaume Gevigney (1729-1802), Garde des titres et généalogies de la bibliothèque du Roi. Elles furent plus tard acquises par Richard Gough (1735-1809), directeur de la Société des antiquaires de Londres, qui les lègua en 1809 à la bibliothèque d’Oxford.
Une des nombreuses pièces subtilisées en 1784 au Cabinet du Roi par l’abbé Jean-Baptiste Guillaume Gevigney (1729-1802), Garde des titres et généalogies de la bibliothèque du Roi. Elles furent plus tard acquises par Richard Gough (1735-1809), directeur de la Société des antiquaires de Londres, qui les lègua en 1809 à la bibliothèque d’Oxford.
