Archive numérique de la collection Gaignières (1642-1715)

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Fondation de messes par Gabrielle de Mareuil dans l'abbaye de la Trinité de Poitiers

  • Fondation de messes par Gabrielle de Mareuil dans l'abbaye de la Trinité de Poitiers

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Lieu de conservation
Cote ou no d'inventaire
Folio
164
No d'inventaire d'Henri Bouchot
2693
Numéro de l'item (1711) incluant l'image
Titre de l'item (1711) incluant l'image
Autre [portefeuille] cotté Alençon, Evreux, Navarre, Anjou, remply idem : genealogies et escussons enluminées
Titre et légende
Fondation sur cuivre, contre le mur, près de la closture du grand-autel du costé de l'épistre dans le chœur de l'église de l'abbaye de la Trinité de Poitiers, par Gabriel de Mareuil vefve de Nicolas d'Anjou, marquis de Maisières
Titre dans l'inventaire détaillé
Fondation sur cuivre, contre le mur, près de la closture du grand-autel du costé de l'épistre dans le chœur de l'église de l'abbaye de la Trinité de Poitiers, par Gabriel de Mareuil veuve de Nicolas d'Anjou, marquis de Maisières
Lieu(x) et Période de production
1670 – 1715
  France
Matériau, Technique
Papier, Encre, Aquarelle
Format
Format in-folio
Inventaire détaillé parent
Clairambault 1046, 279
Statut du document
Copie / Relevé
Etape de la copie/relevé
Dessin mis au net
Édifice traité
Objet traité
Armoirie(s) traitée(s)
Mareuil, Gabrielle (dame de, + 1593) - Support : Écu (losange) - Armoirie : Dessinée - parti, au 1 mi-parti à dextre d'azur à trois fleurs-de-lis d'or, à la bordure de gueules et au bâton du même, péri en bande (Anjou-Mézières) ; au 2 de gueules au chef d'argent, au lion d'azur, armé, lampassé et couronné d'or brochant (Mareuil) Timbre : couronne fleuronnée
Localisation(s) traitée(s)
Région traitée
Poitou
Diocèse traité
Poitiers
Période traitée
16e siècle
Remarques
Une des nombreuses pièces subtilisées en 1784 au Cabinet du Roi par l’abbé Jean-Baptiste Guillaume Gevigney (1729-1802), Garde des titres et généalogies de la bibliothèque du Roi. Elles furent plus tard acquises par Richard Gough (1735-1809), directeur de la Société des antiquaires de Londres, qui les légua en 1809 à la bibliothèque d’Oxford.

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