Image
Tapisserie pour le mariage de Louis XIV et Marie-Thérèse d'Autriche
Lieu de conservation
Cote ou no d'inventaire
Folio
1
No d'inventaire d'Henri Bouchot
3709
Numéro de l'item (1711) incluant l'image
Titre de l'item (1711) incluant l'image
Autre portefeuille [de parchemin marbré, dos doré, f°] idem, remply d'armes et devises, tapiseries, ornemens royaux, vases antiques, calices, etc., le tout dessinez et colorez, 88 pieces
Titre dans l'inventaire détaillé
Armes et devise du roy Louis XIV et de la reine, sa femme
Auteur(s)
Lieu(x) et Période de production
1670 – 1715
| France |
Matériau, Technique
Papier, Encre, Aquarelle
Format
Format in-folio
Inventaire détaillé parent
Clairambault 1046, 371
Statut du document
Copie / Relevé
Etape de la copie/relevé
Dessin mis au net
Objet traité
Personne(s) traitée(s)
Armoirie(s) traitée(s)
Louis XIV (roi de France, 1638-1715) - Support : Écu - Armoirie : Peinte - d'azur à trois fleurs-de-lis d'or (France moderne) Timbre : couronne royale fermée
Marie-Thérèse d'Autriche (reine de France, 1638-1683) - Armoirie : Peinte - Coupé, au A parti, au 1 écartelé, aux a et d de gueules au château d'or, ouvert d'azur (Castille) ; au b et c d'argent au lion de pourpre (Léon) ; au 2 parti, au a d'or à quatre pals de gueules (Aragon) ; au b écartelé en sautoir d'or à quatre pals de gueules et d'argent à l'aigle de sable (Aragon-Sicile) ; enté en pointe du A d'argent à la grenade au naturel (Grenade) ; sur-le-tout du A d'argent à cinq quinois d'azur dans une bordure de gueules à sept châteaux d'or ouvert d'azur (Portugal) ; au B écartelé, au 1 de gueules à la fasce d'argent (Autriche) ; au 2 d'azur semé de fleurs-de-lis d'or, à la bordure componée d'argent et de gueules (Valois-Bourgogne) ; au c bandé d'or et d'azur à la bordure de gueules (Bourgogne) ; au d de sable au lion d'or, armé et lampassé de gueules (Brabant) ; sur-le-tout du B parti, au 1 d'or au lion de sable, armé et lampassé de gueules (Flandre) ; au 2 d'argent à l'aigle de gueules, liée, becquée et membrée d'or (Tyrol).
Marie-Thérèse d'Autriche (reine de France, 1638-1683) - Armoirie : Peinte - Coupé, au A parti, au 1 écartelé, aux a et d de gueules au château d'or, ouvert d'azur (Castille) ; au b et c d'argent au lion de pourpre (Léon) ; au 2 parti, au a d'or à quatre pals de gueules (Aragon) ; au b écartelé en sautoir d'or à quatre pals de gueules et d'argent à l'aigle de sable (Aragon-Sicile) ; enté en pointe du A d'argent à la grenade au naturel (Grenade) ; sur-le-tout du A d'argent à cinq quinois d'azur dans une bordure de gueules à sept châteaux d'or ouvert d'azur (Portugal) ; au B écartelé, au 1 de gueules à la fasce d'argent (Autriche) ; au 2 d'azur semé de fleurs-de-lis d'or, à la bordure componée d'argent et de gueules (Valois-Bourgogne) ; au c bandé d'or et d'azur à la bordure de gueules (Bourgogne) ; au d de sable au lion d'or, armé et lampassé de gueules (Brabant) ; sur-le-tout du B parti, au 1 d'or au lion de sable, armé et lampassé de gueules (Flandre) ; au 2 d'argent à l'aigle de gueules, liée, becquée et membrée d'or (Tyrol).
Emblème(s) traité(s)
Lettre ou monogramme : L M (Louis, Marie)
Emblème humaniste : Un arc-en-ciel écartant les nuages avec le mot 'In fœdera veni' (J'apporte l'alliance ; sans doute dérivé de Virgile, Énéide, IV-338).
Emblème humaniste : Deux cœurs liés par un lac d'amour sur un autel avec le mot 'Non usquam junxit nobiliorum' (on n'en a nulle part unis de plus nobles)
Emblème humaniste : Un arc-en-ciel écartant les nuages avec le mot 'In fœdera veni' (J'apporte l'alliance ; sans doute dérivé de Virgile, Énéide, IV-338).
Emblème humaniste : Deux cœurs liés par un lac d'amour sur un autel avec le mot 'Non usquam junxit nobiliorum' (on n'en a nulle part unis de plus nobles)
Période traitée
fixed – 1660
Remarques
Une des nombreuses pièces subtilisées en 1784 au Cabinet du Roi par l’abbé Jean-Baptiste Guillaume Gevigney (1729-1802), Garde des titres et généalogies de la bibliothèque du Roi. Elles furent plus tard acquises par Richard Gough (1735-1809), directeur de la Société des antiquaires de Londres, qui les lègua en 1809 à la bibliothèque d’Oxford.
