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Tapisserie aux armes de Guy de Baudreuil
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Copie / relevé (19806)
Brouillon pour la tapisserie aux armes de Guy de Baudreuil
Lieu de conservation
Cote ou no d'inventaire
Folio
29
No d'inventaire d'Henri Bouchot
3736
Numéro de l'item (1711) incluant l'image
Titre de l'item (1711) incluant l'image
Autre portefeuille [de parchemin marbré, dos doré, f°] idem, remply d'armes et devises, tapiseries, ornemens royaux, vases antiques, calices, etc., le tout dessinez et colorez, 88 pieces
Titre dans l'inventaire détaillé
Armes et devise de Guy de Vaudreil en 1420
Auteur(s)
Lieu(x) et Période de production
1670 – 1715
| France |
Matériau, Technique
Papier, Encre, Aquarelle
Format
Format in-folio
Inventaire détaillé parent
Clairambault 1046, 371
Statut du document
Copie / Relevé
Etape de la copie/relevé
Dessin mis au net
Objet traité
Personne(s) traitée(s)
Armoirie(s) traitée(s)
Baudreuil, Guy de (+ ap. 1521) - Support : Écu - Armoirie : Peinte
Baudreuil - Support : Écu - Armoirie : Peinte - fascé de quatre pièces d'azur et d'argent, les fasces d'azur chargées de trois couronnes d'or et celles d'argent de trois cœurs de gueules, posés 2 et 1, les couronnes surmontant les cœurs (Baudreuil)
Saint-Martial - Support : Écu - Armoirie : Peinte - d'hermine à la fasce d'azur semées de fleurs-de-lis d'or (Saint-Martial) Signe de dignité : crosse
Baudreuil - Support : Écu - Armoirie : Peinte - fascé de quatre pièces d'azur et d'argent, les fasces d'azur chargées de trois couronnes d'or et celles d'argent de trois cœurs de gueules, posés 2 et 1, les couronnes surmontant les cœurs (Baudreuil)
Saint-Martial - Support : Écu - Armoirie : Peinte - d'hermine à la fasce d'azur semées de fleurs-de-lis d'or (Saint-Martial) Signe de dignité : crosse
Emblème(s) traité(s)
Mot emblématique : 'Le cueur tout à Dieu'
Période traitée
16e siècle
Remarques
Une des nombreuses pièces subtilisées en 1784 au Cabinet du Roi par l’abbé Jean-Baptiste Guillaume Gevigney (1729-1802), Garde des titres et généalogies de la bibliothèque du Roi. Elles furent plus tard acquises par Richard Gough (1735-1809), directeur de la Société des antiquaires de Londres, qui les lègua en 1809 à la bibliothèque d’Oxford.
