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Tapisserie aux armes de François Blondel, doyen de la faculté de médecine, et de Marie Blaise
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Copie / relevé (19811)
Brouillon pour la tapisserie aux armes de François Blondel et Marie Blaise
Lieu de conservation
Cote ou no d'inventaire
Folio
39
No d'inventaire d'Henri Bouchot
3746
Numéro de l'item (1711) incluant l'image
Titre de l'item (1711) incluant l'image
Autre portefeuille [de parchemin marbré, dos doré, f°] idem, remply d'armes et devises, tapiseries, ornemens royaux, vases antiques, calices, etc., le tout dessinez et colorez, 88 pieces
Titre dans l'inventaire détaillé
Armes et devise de…
Auteur(s)
Lieu(x) et Période de production
1670 – 1715
| France |
Matériau, Technique
Papier, Encre, Aquarelle
Format
Format in-folio
Inventaire détaillé parent
Clairambault 1046, 373
Statut du document
Copie / Relevé
Etape de la copie/relevé
Dessin mis au net
Objet traité
Personne(s) traitée(s)
Armoirie(s) traitée(s)
Blondel, François (médecin, c. 1609-1682) - Support : Écu - Armoirie : Peinte - d'azur à trois épis de blés d'or liés d'argent, soutenus d'un croissant du second (Blondel)
Blaise, Marie (femme de François Blondel en 1641) - Support : Écu - Armoirie : Peinte - d'argent à une cigogne pêchant un poisson dans une mare, le tout au naturel (Blaise)
Blaise, Marie (femme de François Blondel en 1641) - Support : Écu - Armoirie : Peinte - d'argent à une cigogne pêchant un poisson dans une mare, le tout au naturel (Blaise)
Emblème(s) traité(s)
Mot emblématique : 'Crescit in adversis virtus' (la vertu grandit dans les tourments).
Mot emblématique : 'Neque mors neque venenum' (ni maladie, ni poison).
Emblème humaniste : Un caducée fiché dans un cœur avec le mot 'Leale e secreto' (fidèle et secret).
Mot emblématique : 'Neque mors neque venenum' (ni maladie, ni poison).
Emblème humaniste : Un caducée fiché dans un cœur avec le mot 'Leale e secreto' (fidèle et secret).
Période traitée
17e siècle
Remarques
Les quatre tapisseries sans aucun élément d'identification dans l'inventaire détaillé ont été rangées dans l'ordre d'apparition au sein du recueil actuel.
Une des nombreuses pièces subtilisées en 1784 au Cabinet du Roi par l’abbé Jean-Baptiste Guillaume Gevigney (1729-1802), Garde des titres et généalogies de la bibliothèque du Roi. Elles furent plus tard acquises par Richard Gough (1735-1809), directeur de la Société des antiquaires de Londres, qui les lègua en 1809 à la bibliothèque d’Oxford.
Une des nombreuses pièces subtilisées en 1784 au Cabinet du Roi par l’abbé Jean-Baptiste Guillaume Gevigney (1729-1802), Garde des titres et généalogies de la bibliothèque du Roi. Elles furent plus tard acquises par Richard Gough (1735-1809), directeur de la Société des antiquaires de Londres, qui les lègua en 1809 à la bibliothèque d’Oxford.
