Archive numérique de la collection Gaignières (1642-1715)

Texte

[Epitaphe de Jean de Bruges, seigneur de La Gruuthuse, copiée et dessinée par Jean Gellé et annotée par Gaignières et Jean Gellé]

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Cote ou no d'inventaire
Folio
208
Numéro de l'item (1711) incluant le texte
Texte identifié
[Epitaphe de Jean de Bruges, seigneur de La Gruuthuse, copiée et dessinée par Jean Gellé et annotée par Gaignières et Jean Gellé]
Lieu(x) et Période de production
Destinataire du document (courrier)
Matériau, Technique
Papier
Statut du document
Original
Édifice traité
Abbaye de Saint-Riquier - Bénédictin/Bénédictine
Abbaye

Localisation(s) traitée(s)
Région traitée
Picardie
Période traitée
Source du document numérisé
Transcription
Messire Jehan de Bruges prince de Stemeuse seigneur de la Grutuse &c [de la main de Gaignières: Cecy n’est-il point escrit en entiers? Y a -t-il quelque chose après cet &a ? / Gellé: Non], chevalier de l’ordre [Gaignières: N'y a-t-il pas "du roy"? / Gellé: Non, ce n’étoit en ce temps-là que l’ordre de Saint-Michel], gouverneur et lieutenant général du roy ès pays de Picardie et capitaine de cent homme d’armes, trespassa à Abbeville en l’an mil Vcc et XII et fust grand et redoubté seigneur.

[Gaignières: Est-ce là tout, le reste n’est il point perdu? / Gellé: C’est tout et le marbre qui a encore tous ses bordz ne peut soufrir davantage]

Cet épitaphe est une pierre de marbre de six à sept pied (sic) de long et large à proportion, sur laquelle sont les armes en demi relief. On l’a trouvé enterré sous les ruines de l’église de Saint-Riquier et on l’a mis à la muraille d’une croisée du chœur par dehors et le marbre où est ecrit l’épitaphe en lettre gothique (sic), on l’a mis au dessus de la balustre de la même cloison.

[à l’envers] monastère, c’est la grâce que [...] son cœur
Mon Révérend Père
De Saint-Riquier, ce 1er de septembre 1683.
Votre très humble et très affectionné confrère fr. Pierre Mallart. M. B.

[Gaignières : ] où est cet épitaphe, en quelle église ?
[Gellé :] de Saint-Riquier à deux lieues d’Abbeville qu’on a rebâtie magnifiquement depuis quelques années et je vous ay seulement voulu marquer par ces grifoneries la disposition nouvelle qu’on a donnée à cette tombe qui sert comme de soubazement (sic) à la balustrade de fer au dessus de la quelle on a mis les armes de M. l’abbé d’Aligres.
[sur le croquis :] messire Jean de Buges etc.
[Gaignières : ] aparement c’est icy l’épitaphe [Gellé : ] ouy
[Gaignières :] Sont-ce là des armes ? [Gellé : ] de M. l’abbé qui a fait faire cette grille de fer
[Gaignières : ] est-ce pas une balustrade ?
Qu’est ce que cecy ? Y a-t-il de l’escrit ?
[Gellé : ] C’est la tombe qu’on a trouvée platte, enterrée, et qu’on a relevé contre la muraille au dessous de la balustrade. Il n’y a rien d’écrit, tout (sic) l’écriture est dans le cartouche d’en haut et de mot à mot comme on l’a marqué.

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